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00:00
Monteverdi - L'Orfeo
PG01:43:002021HD
Emiliano Gonzalez Toro dirige l’ensemble I Gemelli dans une performance de L’Orfeo, opéra composé vers la fin de la Renaissance par Claudio Monteverdi. Parmi les solistes se trouve nul autre que maestro Toro (Orfeo), ainsi que Emőke Baráth (Eurydice), Natalie Perez, Douglas Williams, Fulvio Bettini, Alix Le Saux, Jérôme Varnier et Mathilde Étienne. L’Orfeo raconte l’histoire de la légende grecque d’Orphée, descendu aux Enfers pour sauver son épouse Eurydice et la ramener vers le monde des vivants. L’Orfeo a été composé en 1607 dans le cadre du carnaval annuel de Mantoue, et est considéré comme le plus vieil opéra encore régulièrement présenté. Cette production a été enregistrée au Théâtre Graslin de Nantes, en France, en 2021.
01:43
Waldbühne 2003 - Soirée Gershwin
G01:50:002003HD
Figurant parmi les plus jolis amphithéâtres extérieurs d’Europe, le Waldbühne de Berlin accueille chaque année les concerts estivaux de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Grâce à sa capacité de 20 000 spectateurs, le Waldbühne est le site de certains des concerts de musique classique les plus populaires au monde. En 2003, Seiji Ozawa et le Berliner Philharmoniker y ont interprété des pièces de George Gershwin en compagnie du Marcus Roberts Trio, invité spécial de l’événement.
03:34
Naples - Capitale oubliée de la musique - partie 1
G00:22:002019HD
Du 23 août au 1er septembre de 2019, le Festival de musique ancienne d’Utrecht explorera l’héritage musical de Naples, une métropole culturelle marquée par les contradictions et la solidarité. Dans le documentaire Napoli – Music’s Forgotten Capital, le co-commissaire du festival Thomas Höft part à la recherche d’histoires provenant de cette ville mystérieuse.
03:56
Brahms - Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98
G00:46:002007HD
Le concert Europakonzert 2007 se déroule à Berlin, à l’occasion du 125e anniversaire de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Sous le thème « L’an 1882 », l’orchestre de renom est dirigé par Sir Simon Rattle pour interpréter le Concerto pour violon et la Quatrième symphonie de Brahms. Il présente aussi le « Prélude de l’Acte 1 » tiré de Parsifal de Wagner, une œuvre qui représente le premier enregistrement de cet orchestre, en septembre 1913, sous la direction d’Alfred Hertz. Les solistes sont Lisa Batiashvili (violon) et Truls Mørk (violoncelle), de jeunes virtuoses très convoités qui collaborent souvent avec des orchestres majeurs et offrent des récitals partout dans le monde.
04:43
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Bryan Murray
G00:30:002022HD
Le baryton Bryan Murray (États-Unis, 1989) interprète Phidylé d’Henri Duparc; « In der Fremde », « Intermezzo », « Waldesgespräch », « Die Stille » et « Mondnacht » du Liederkreis (op. 39) de Robert Schumann; « Requiescat », tirée des Trois chansons de Matthew Emery; ainsi que « Chanson romanesque », « Chanson épique » et « Chanson à boire », de Don Quichotte à Dulcinée par Maurice Ravel, lors des demi-finales du volet Mélodie du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Cette performance a été captée à la salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.
05:13
Saint-Saëns - Concerto pour piano no 2, op. 22
G00:46:002018HD
Le pianiste Mikhail Pletnev est accompagné par l’Orchestre national russe, sous la direction de Kirill Karabits, dans une performance du Concerto pour piano no 2, op. 22 de Saint-Saëns. Lors de la première de l’œuvre, en 1868, Saint-Saëns était lui-même au piano, sous la direction de maestro Anton Rubinstein. Ce concert enregistré à la Société philharmonique de Moscou dans le cadre de la neuvième édition du Grand festival de l’Orchestre national russe s’ouvre avec une performance du poème symphonique Rêves de Prokofiev.
06:00
Beethoven - Concerto pour violon, Op. 61
G00:50:001992HD
Le violoniste israélien Itzhak Perlman et l’Orchestre philharmonique de Berlin interprètent le Concerto pour violon, op. 61 de Ludwig van Beethoven sous la direction de Daniel Barenboim. Beethoven a dédié son Concerto pour violon à son collègue Franz Clement, un important violoniste de l’époque. La première de la pièce a été présentée à Vienne en 1806. N’ayant malheureusement pas connu le succès escompté, la pièce a seulement été interprétée à une poignée de reprises au cours des décennies suivantes. Cependant, l’œuvre a connu un second souffle en 1844, lorsque le jeune violoniste Joseph Joachim, alors âgé d’à peine 12 ans, l’a interprétée avec la London Philharmonic Society, sous la direction de Mendelssohn. Depuis, le Concerto pour violon de Beethoven figure parmi les concertos les plus importants du répertoire classique. Cette œuvre réputée pour sa vaste gamme de cadenzas pose un grand défi technique et intellectuel, relevé avec brio par Perlman et l’Orchestre philharmonique de Berlin.
06:50
Schubert - Symphonie no 8 en si mineur, D. 759
G00:24:002013HD
Les Dissonances est un collectif artistique créé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Ici, Les Dissonances présente la Symphonie no 8 en si mineur, D. 759, de Franz Schubert. Schubert a commencé cette œuvre en 1822, mais en a seulement achevé les deux premiers mouvements, d’où son surnom de Symphonie inachevée. Le premier mouvement, l’allegro moderato, affiche des couleurs sombres et mystérieuses, qui offrent un contraste saisissant au magnifique deuxième mouvement, l’andante con moto en mi majeur. Schubert n’a composé que quelques mesures du troisième mouvement, un scherzo, en partition complète. Nul ne sait pourquoi le compositeur n’a jamais terminé cette symphonie, mais plusieurs théories circulent. Malgré tout, cette pièce figure parmi les compositions les plus populaires de Schubert. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la musique de Paris, en France, en 2013.
07:14
Daucé dirige Charpentier et Du Mont
G01:28:002017HD
Le claveciniste et organiste Sébastien Daucé dirige l’Ensemble Correspondances dans ce concert enregistré dans le cadre de l’édition 2017 du Valletta International Baroque Festival à la cocathédrale de Saint-Jean de La Valette, à Malte. Le concert débute par une interprétation de « Te Deum », œuvre de Marc-Antoine Charpentier composée à la fin du 17e siècle. Plusieurs spectateurs reconnaîtront le prélude enjoué de cette pièce, qui a été utilisé comme hymne du concours Eurovision. Ce concert compte également des motets signés Henry du Mont (1610-1694), un organiste et compositeur baroque de l’école française né dans le sud des Pays-Bas qui compte Jean-Baptiste Lully (1632-1687) et François Couperin (1668-1733) parmi ses héritiers musicaux.
08:43
CMIM Voix 2022 - Demi-finale: Lauren Margison
G00:17:002022HD
La soprano Lauren Margison (Canada, 1992) interprète « Come Scoglio » de l’opéra Così fan tutte de Wolfgang Amadeus Mozart; « Signore, ascolta » de l’opéra Turandot de Giacomo Puccini; et « Měsíčku na nebi hlubokém », extrait de l’opéra Rusalka d’Antonín Dvořák, lors des demi-finales du volet Aria du Concours musical international de Montréal 2022 (CMIM). Elle est accompagnée de l’Orchestre symphonique de Montréal, sous la direction de Jacques Lacombe. Cette performance a été captée à la Maison symphonique de Montréal.
09:00
Stingray Originals - Seljan Nasibli
G00:22:002021HD
Originaire d’Azerbaïdjan, Seljan Nasibli a commencé à jouer du piano et du violon à tout juste cinq ans. Après être déménagée en Angleterre à un jeune âge, elle a été encouragée à poursuivre ses aspirations musicales et a choisi de chanter du jazz. Or, ses professeurs à l’Université d’Oxford ont décelé chez la jeune femme une tendance opératique certaine, et l’ont invitée à suivre une formation classique. Nasibli a terminé ses études au Royal College of Music, où elle a décroché une maîtrise en performance vocale. Dans cet épisode de Stingray Originals, Nasibli interprète « Signore, ascolta! » et « Tu, che di gel sei cinta » tirées de Turandot de Puccini, et « Quando m’en vo’ » (La Valse de Musette) de La Bohème, du même compositeur.
09:23
Chopin - Nocturnes op. 62
G00:39:002006HD
Roberto Prosseda (1975) interprète la Sonate pour piano no 5 de Mozart (KV. 283) et Quatre impromptus, op. 90, de Franz Schubert, pour terminer avec Chopin et les défis techniques de Ballade no 4, op. 52. Surtout reconnu pour son interprétation d’œuvres récemment découvertes ayant été créées par Mendelssohn, Prosseda a enregistré une série de neuf CD pour Decca portant sur les compositions pianistiques de ce dernier. Depuis 2012, Prosseda livre aussi des conférences-concerts avec le pianiste robot TeoTronico, sous la forme de spectacles éducatifs ou pour toute la famille, afin de démontrer les différences entre la production littérale de la musique et son interprétation humaine.
10:02
Bruckner - Symphonie No. 7
G01:05:002019HD
Lors de cette performance réalisée en 2019 à la salle Muziekgebouw d’Eindhoven, Hartmut Haenchen dirige Philharmonie Zuidnederland, qui interprète la Septième symphonie d’Anton Bruckner. D’une durée de 20 minutes, le magistral thème d’ouverture du premier mouvement préfigure une œuvre retentissante. Le doute et la tourmente ressentis tout au long de l’adagio, le second mouvement, sont réputés être la réaction de Bruckner à la mort de son idole, Richard Wagner.
11:08
Fomin joue Schumann, Beethoven et Tchaïkovski
G01:30:002017HD
Après un récital inaugural couronné de succès en 2016, le pianiste Misha Fomin fait un retour sur les planches de la salle intimiste du Concertgebouw Amsterdam le 11 novembre 2017. Célébré par la presse locale et internationale pour sa virtuosité naturelle, la texture riche de son jeu et sa grande intelligence musicale, Fomin interprète la Fantaisie, op. 17 de Schumann, la Sonate pour piano no 30, op. 109 de Beethoven, ainsi que des œuvres de Tchaïkovski, dont les pièces « Mai », « Juin » et « Octobre » tirées des Saisons, op. 37b, et une transcription signée Liszt de la « Polonaise », tirée de l’opéra Eugene Onegin.
12:38
A la découverte des chefs-d'œuvre : Bach
G00:29:002010HD
L'épisode de cette série présente la Concertos Brandebourgeois de Johann Sébastian Bach (1685-1750). Les exemples musicaux sont interprétés par le Freiburger Barockorchester dirigé par Gottfried von der Goltz. La période que Bach passe à Coethen (1717-1723) est l'une des plus productives de sa vie : partitas, sonates, pièces pour orchestre, suites pour violon seul, violoncelle seul, concertos pour violon et pour clavier naissent aux côtés des Concertos Brandebourgeois. Ils sont ancrés aujourd'hui dans le répertoire international et jouent aussi un rôle important dans l'éducation musicale. Le pianiste et expert de Bach Robert Levin nous donne des clés d'écoute.
13:07
Liszt - Due Poemi Sinfonici
00:28:002015HD
Franz Liszt (1811 – 1886) a écrit treize poèmes symphoniques, pour la plupart inspirés de textes littéraires. Le compositeur en a également réalisé des arrangements pour piano à quatre mains, mettant en valeur sa capacité d’imiter tout un orchestre au piano. Liszt, l’un des pianistes les plus virtuoses du XIXe siècle, a fortement influencé le développement ultérieur de la musique de piano. Le romantisme était une période d’essor pour le jeu de piano virtuose : le piano était l’instrument de prédilection de d’innombrables musiciens et mélomanes. Aucun salon n’était complet sans un piano ; l’instrument était un symbole de statut social. On en jouait dans les salles de concerts, les salons, les palais, les églises et les cafés. Le poème symphonique No. 4 dite « Orpheus » de Liszt respire une ambiance méditative. Le poème symphonique No. 3 dite « Les Préludes » est surtout connu dans sa version symphonique – la version pour piano à quatre mains que vous entendez ici n’est que rarement interprétée. Composé entre 1845 et 1853, Liszt voulait au départ faire de cet ouvrage une introduction à une plus large composition chorale d’après des poèmes de Joseph Autran. Il abandonne l’idée et transforme l’ouvrage en une pièce symphonique autonome. Lors de ce concert, les deux pianistes italiens Marco Sollini et Salvatore Barbatano interprètent ces deux œuvres de Liszt. Le concert a été enregistré en 2015 à l’église San Marco, dans le village pittoresque de Ponzano di Fermo, dans le cadre du festival « Armonie delle sera », qui se tient chaque année dans la région des Marches.
13:35
Nizamov - Heavenly Movement
G00:25:002017HD
Le soliste Boris Berezovsky est accompagné par l’Orchestre philharmonique de Moscou, sous la direction d’Alexander Sladkovsky, pour interpréter le Concerto pour piano no 1, op. 1 de Rachmaninov, une pièce créée alors que le compositeur n’avait que 18 ans et étudiait au Conservatoire de Moscou. Le concert débute avec par une œuvre du jeune compositeur russe Elmir Nizamov (1986), intitulée Heavenly Movement. Enregistré au centre de concert Tchaïkovski de la Société philharmonique russe, le 28 avril 2017.
14:01
Couperin: Deuxième Livre «A Step into the Unknown»
G01:03:002018HD
Grâce à sa technique superbe, son intelligence, son bon goût et son raffinement, Carole Cerasi est l’interprète rêvée pour le deuxième livre de Couperin, Pièces de clavecin. Plus que le volume précédent, qui est une collection de compositions plus anciennes, celui-ci indique la voie que le compositeur souhaitait entreprendre : le style et la forme deviennent plus modernes, et on y retrouve des compositions plus personnelles ou évocatrices, ainsi que des portraits musicaux.
15:04
Berlioz - La damnation de Faust
G02:15:002017HD
Sir Simon Rattle et l’Orchestre symphonique de Londres soulignent les 150 ans qui se sont écoulés depuis le décès d’Hector Berlioz avec La damnation de Faust, un oratorio tumultueux. La damnation de Faust est une œuvre née de l’obsession du compositeur pour la célèbre fable de Goethe. Autrefois un savant bienfaisant, Faust se laisse corrompre par le diable et entraîne vers le désespoir et la mort les personnes innocentes qui l’entourent. Il s’agit d’une fable difficile à catégoriser, puisqu’elle possède à la fois les caractéristiques de la tragédie et de la comédie noire, son personnage principal est aussi sage que détestable, et elle est aussi une pièce de théâtre et un poème épique.
17:19
Penderecki - Symphonie: Sept portes de Jérusalem
G01:30:002017HD
L’édition 2017 du festival de musique classique Printemps de Prague a connu une conclusion puissante grâce à la performance de Krzysztof Penderecki, qui a dirigé l’Orchestre symphonique de la radio de Prague et le chœur de l’Orchestre philharmonique slovaque lors de l’interprétation de sa monumentale septième symphonie, Les sept portes de Jérusalem. Cette œuvre témoignant de réflexions introspectives sur la foi a été composée, en l’honneur de Jérusalem, pour des solistes, un chœur et un orchestre, avec un libretto tiré du Vieux Testament. Pour s’exprimer, Penderecki emploie des instruments précis : le tubophone, des objets de percussion qu’il a lui-même conçus et le schofar, un instrument liturgique juif ancien. Les solistes de cette performance incluent Iwona Hossa (soprano), Karolina Sikora (soprano), Anna Lubanska (mezzo-soprano), Adam Zdunikowsk (ténor), Piotr Nowacki (basse) et David Švehlík (narrateur). Le programme dévoile aussi une interprétation de Serenade for Orchestra, du compositeur tchèque Isa Krejci. Capté au Smetana Hall de Prague, en République tchèque.
18:49
Mikhaïl Pletnev dirige Rimski-Korsakov
G00:46:002017HD
Le chef d’orchestre et pianiste russe Mikhail Pletnev dirige l’Orchestre national russe dans une performance consacrée au compositeur Rimski-Korsakov. Le programme comprend des pièces tirées des opéras La légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia et Le conte du tsar Saltan, qui comprend notamment le célèbre interlude Le vol du bourdon. Enregistré au centre de concert Tchaïkovski de la Société philharmonique russe en 2017. Réalisé par Elena Schnaptchits.
19:36
Bach - Suite pour violoncelle no 5 en do mineur
G00:24:002000HD
En direct de l’église Saint-Barthélemy de Dornheim, en Allemagne, où Jean Sébastian Bach a épousé sa première femme Maria Barbara, le réputé violoncelliste néerlandais Anner Bylsma interprète la Suite pour violoncelle no 5 en do mineur, BWV 1011, du compositeur. Bach a probablement composé cette collection de six suites pour violoncelle solo entre 1717 et 1723. Ces œuvres sont considérées comme une partie intégrante du répertoire classique pour violoncelle, et mettent merveilleusement en lumière les possibilités polyphoniques de l’instrument. Comme c’est généralement le cas dans les suites baroques, chaque mouvement est basé sur un type de danse. Ainsi, la Suite no 5 s’ouvre par un prélude, et est suivie par six mouvements de danse, divisés en cinq sections : une allemande, une courante, une sarabande, deux gavottes et une gigue finale.
20:01
Documentaire: Gianandrea Noseda
G00:36:002016HD
Bien que le grand compositeur italien Giuseppe Verdi ait été refusé au Conservatoire de Milan, cette institution musicale de renom a éventuellement été renommée en son honneur. Aujourd’hui, le Conservatorio Giuseppe Verdi compte nombre de grands musiciens parmi ses diplômés : Giacomo Puccini, Alfredo Catalani, Claudio Abbado, Riccardo Chailly, Luigi Einaudi, Daniele Gatti et Gianandrea Noseda. Né en 1964, ce dernier est l’un des chefs d’orchestre les plus célébrés de sa génération. Récemment, Noseda a effectué un retour dans les salles de classe de son alma mater pour animer une classe de maître unique destinée à de jeunes musiciens prometteurs provenant des quatre coins du globe. Pendant trois jours, Noseda a fait équipe avec un groupe d’élèves triés sur le volet afin de préparer un programme musical éclectique. Ce documentaire suit ces jeunes musiciens talentueux tandis qu’ils répètent des compositions de Mozart, de Tchaïkovsky et de Stravinsky sous la direction enthousiaste de maestro Noseda.
20:37
Saint-Saëns - Intro et Rondo Capriccioso, Op. 28
G00:22:002006HD
Le Waldbühne de Berlin est l’un des plus grands et impressionnants amphithéâtres en plein air d’Europe : un décor parfait pour le concert annuel de fin d’année de l’Orchestre philharmonique de Berlin. Avec environ 22 000 spectateurs, ces concerts sont énormément populaires chez les mélomanes de la musique classique. En 2006, il y avait une petite touche néerlandaise : Neeme Järvi a dirigé les fameux musiciens berlinois en présence de la violoniste néerlandaise Janine Jansen. Au programme : Nikolaï Rimski-Korsakov - « Schéhérazade » ; Edvard Grieg - « Peer Gynt », Suite No. 1, Op. 46 (en partie) ; Carl Nielsen « Aladdin », Suite pour Orchestre Op. 34 (en partie) ; Camille Saint-Saëns - « Introduction et Rondo Capriccioso » ; Jules Massenet - « Méditation » pour violon et orchestre de l’opéra « Thaïs ».
21:00
Segatta - Ikone
G00:46:002020HD
La Piccola Orchestra Lumière et le Coro Filarmonico Trentino interprètent le morceau Ikone (2020) du compositeur contemporain et violoncelliste italien Nicola Segatta. Avec un orchestre d’une instrumentation très diversifiée (des cordes au saxophone, en passant par les percussions), Segatta fait des combinaisons très intéressantes, allant des thèmes byzantins à la musique du monde. Ainsi, cette œuvre d’une riche variété donne à l’auditeur l’impression de faire un tour du monde en musique.
21:46
Documentaire 2017
G00:43:002017HD
Ce court documentaire suit les participants du 11e Concours international de piano Franz-Liszt, présenté au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
22:30
Schumann - Études symphoniques, op. 13
G00:27:002021HD
Après avoir enregistré l’ensemble des 32 sonates pour piano de Ludwig van Beethoven pour souligner le 250e anniversaire du compositeur, Riccardo Schwartz a décidé de se concentrer sur les œuvres pour piano solo de Robert Schumann. Dans cette performance, il interprète les Études symphoniques, op. 13, de Schumann. Composée entre 1834 et 1837, cette œuvre a d’abord vu le jour sous forme de thème accompagné de seize variations. Ce thème a été composé par Baron von Fricken, musicien amateur et père d’Ernestine von Fricken, à qui Schumann était fiancé en 1834. La pièce a d’abord été publiée en 1837, et contenait alors le thème et douze études (parmi lesquelles seulement neuf étaient qualifiées de variations). Quinze ans plus tard, en 1852, Schumann a publié une deuxième édition de l’œuvre, à laquelle il a éliminé deux études et révisé la composition pour piano. Le réputé pianiste italien Riccardo Schwartz (1986) a eu le privilège d’être dirigé comme soliste par plusieurs chefs d’orchestre de renommée mondiale, dont Gustav Kuhn et Yuri Temirkanov. Ses performances célébrées par la critique comprennent des récitals et des concertos pour piano et orchestre livrés sur diverses scènes prestigieuses.
22:58
Classical:NEXT 2019 - Tricia Dawn Williams
G00:31:002019HD
Transition dresse le portrait du piano d’avant-garde sur plus de cent ans. Chaque morceau se fait innovateur, tandis que la musique navigue dans des eaux inexplorées pour tracer un nouveau profil de l’instrument. Créé par Tricia Dawn Williams (de Malte), ce programme propose une expérience unique qui transforme le récital de piano en une performance interdisciplinaire intégrant des technologies de reconnaissance des gestes, de l’art vidéo, des musiques électroniques et des techniques pianistiques avancées. Lors de ce concert tiré de Classical:NEXT! 2019, les musiciens Tricia Dawn Williams (piano), Ruben Zahra (opérateur des technologies) et Atau Tanaka (opérateur des technologies) présentent un programme diversifié d’œuvres de leur propre répertoire ainsi que des compositions de George Crumb et Henry Cowell.
23:29
Bach - Sonate no 6 BWV 1019
G00:30:002009HD
La Sonate pour violon et clavecin No.6 BWV 1019 est la dernière des sonates que Jean-Sébastien Bach a composées avant 1725, probablement alors qu’il travaillait comme maître de chapelle à Köthen. On croit qu’il a écrit les sonates pour le prince Léopold et que, plus tard, il a adapté ces morceaux pour son usage personnel à Leipzig. C’est peut-être pour cette raison que les sonates sont bien jouables pour des amateurs mais qu’elles contiennent également beaucoup de finesse, constituant aussi un défi pour les musiciens professionnels. Comme les «concertos brandebourgeois », ces œuvres ont été écrites pour former une série, mais cette dernière sonate est la seule à compter cinq mouvements au lieu de quatre.